Judith Godrèche, nait le 23 mars 1972 à Paris. Elle demeure une actrice, scénariste, réalisatrice et écrivaine française. Elle s’est fait connaître grâce à des films tels que La Désenchantée de Benoît Jacquot, qui lui a valu une nomination au César du meilleur espoir féminin. De plus, Judith Godrèche se trouve à l’écriture et réalisation de la série Icon of French Cinema avec Arte. De même, nous pouvons la voir performer son propre rôle avec autodérision durant la série. Judith Godrèche a une carrière cinématographique riche, passant du drame à la comédie. Par ailleurs, la comédienne a travaillé avec des réalisateurs renommés tels que Olivier Assayas et Patrice Leconte.
Dernièrement, elle défraye la chronique via ses accusations de viol portées contre Jacques Doillon. Lequel ayant a répondu en déposant plainte pour diffamation. Judith Godrèche invoquant le caractère abusif de la différence d’âge qu’ils avaient à l’époque des faits. Ainsi, elle parle d’avoir été sous l’emprise d’un réalisateur à succès d’une quarantaine d’années. Alors, qu’elle se trouvait seulement âgée de 14 ans. De fait, la cérémonie des César était ce 23 février, l’actrice s’est emparée de son compte Instagram afin de remettre la lumière sur ce qu’elle considère comme une agression.
Judith Godrèche refait l’analyse de La fille de 15 ans
En effet, c’est pour ce film qu’ils ont eu l’occasion de se côtoyer. Judith Godrèche a profité de la mise en lumière du monde du cinéma par la cérémonie des César pour continuer son combat. Ainsi, l’actrice dans sa story Instagram a pris la peine de poster les éléments qui avec le recul lui semble inacceptables. Judith Godrèche a donc décrit les scènes prise en photo, en appuyant sur la communication non verbale exprimant selon elle sa gène manifeste.
De plus, pour conclure son propos sur Instagram, elle a également commenté :
“Pourquoi un réalisateur de 44 ans crée-t-il des scènes d’amour avec une fille de 15 ans ? Fallait-il lui demander d’enlever son pull ? Encore et encore ? Au nom de quel désir ? Celui du cinéma ?”
Dans cette veine, lors de son discours, Judith Godrèche a rappuyé ses allégations et surtout a dénoncé l’omerta sur ce type de situation dans le milieu du cinéma. Ainsi, elle a témoigné que plus de 2000 personnes lui auraient confié avoir subi des sévices après qu’elle-même a osé parler. Toutefois, comme le souligne l’actrice avec raison :
“Pour se croire faut-il encore être cru”
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