Gérard Miller est un psychanalyste, professeur, écrivain, réalisateur, acteur de théâtre et de cinéma. Parmi ses autres casquettes, on le retrouve aussi comme chroniqueur et éditorialiste à la radio et à la télévision. Ainsi, nous avons pu le retrouver pour ses contributions en tant que chroniqueur de Laurent Ruquier sur Europe 1 dans On va se gêner et sur France 2 dans On a tout. Récemment, Gérard Miller a fait l’objet de plaintes pour agression sexuelle et viol déposées par plusieurs femmes, ce qui a suscité une attention médiatique considérable. Les allégations portent sur des incidents survenus il y a plusieurs années, en utilisant les techniques du psychiatre. En effet, son mode opératoire d’après les victimes consistaient à utiliser l’hypnose. En outre, le psychanalyste dément formellement toutes ses accusations. Selon l’écrivain :
« jamais quelqu’un ne s’est retrouvé chez [lui] en n’étant plus en mesure d’interagir, ni après avoir bu quoi que ce soit, ni en aucune autre circonstance. »
Néanmoins, force reste de constater qu’une plainte a encore été déposé à son encontre ce 21 février.
Gérard Miller : Une affaire qui n’en fini pas
Cela ne s’arrange pas pour Gégé la tringle, il va finir en prison : « Le célèbre psychanalyste Gérard Miller est visé par une troisième plainte pour viol. Selon Le Parisien, une femme âgée de 39 ans aujourd’hui, Aude G., a porté plainte hier soir pour viol auprès du procureur de… pic.twitter.com/2ApPu7xbbn
— Alain Weber (@alainpaulweber) February 21, 2024
Selon nos confrères du magazine Le Parisien, une troisième plainte vient de s’ajouter à l’affaire. Les témoignages à l’encontre de Gérard Miller s’avèrent glaçants et généreux en détails. Dans les deux cas précédents, les faits remontent aux années 90/2000. Toujours dans un cadre dans lequel la victime se trouvait dans une situation de soin avec Gérard Miller. D’ailleurs, l’une des victimes, Muriel Cousin, a notamment expliqué :
« Je me suis dit qu’il se passait quelque chose d’anormal. Il touchait mes seins sous mon pull. J’ai senti aussi sa main passer sur mon sexe, par-dessus le pantalon »
En tout cas, Gérard Miller ne semble clamer son innocence envers et contre tous :
« le souvenir que plusieurs femmes gardent d’un jeu ou d’un test qui durait tout au plus quelques minutes et où elles restaient parfaitement conscientes n’a rien à voir avec une séance d’hypnose. »
En espérant que les victimes soient entendues et que justice soit faite.