Gérard Miller visé par une troisième plainte pour viol

Gérard Miller confronté à une troisième plainte pour viol. Découvrez les derniers développements de l’affaire.
Gérard Miller

Gérard Miller est un psychanalyste, professeur, écrivain, réalisateur, acteur de théâtre et de cinéma. Parmi ses autres casquettes, on le retrouve aussi comme chroniqueur et éditorialiste à la radio et à la télévision. Ainsi, nous avons pu le retrouver pour ses contributions en tant que chroniqueur de Laurent Ruquier sur Europe 1 dans On va se gêner et sur France 2 dans On a tout. Récemment, Gérard Miller a fait l’objet de plaintes pour agression sexuelle et viol déposées par plusieurs femmes, ce qui a suscité une attention médiatique considérable. Les allégations portent sur des incidents survenus il y a plusieurs années, en utilisant les techniques du psychiatre. En effet, son mode opératoire d’après les victimes consistaient à utiliser l’hypnose.  En outre, le psychanalyste dément formellement toutes ses accusations. Selon l’écrivain :

« jamais quelqu’un ne s’est retrouvé chez [lui] en n’étant plus en mesure d’interagir, ni après avoir bu quoi que ce soit, ni en aucune autre circonstance. » 

Néanmoins, force reste de constater qu’une plainte a encore été déposé à son encontre ce 21 février.

Gérard Miller : Une affaire qui n’en fini pas

Selon nos confrères du magazine Le Parisien, une troisième plainte vient de s’ajouter à l’affaire. Les témoignages à l’encontre de Gérard Miller s’avèrent glaçants et généreux en détails. Dans les deux cas précédents, les faits remontent aux années 90/2000. Toujours dans un cadre dans lequel la victime se trouvait dans une situation de soin avec Gérard Miller. D’ailleurs, l’une des victimes, Muriel Cousin, a notamment expliqué :

« Je me suis dit qu’il se passait quelque chose d’anormal. Il touchait mes seins sous mon pull. J’ai senti aussi sa main passer sur mon sexe, par-dessus le pantalon »

En tout cas, Gérard Miller ne semble clamer son innocence envers et contre tous :

 « le souvenir que plusieurs femmes gardent d’un jeu ou d’un test qui durait tout au plus quelques minutes et où elles restaient parfaitement conscientes n’a rien à voir avec une séance d’hypnose. »

En espérant que les victimes soient entendues et que justice soit faite.

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